Les rues propres
La propreté des rues de la Ville de Gallardon figure parmi les préoccupations des Gallardonnais et de la municipalité. Elle en a fait une priorité et mobilise en permanence des moyens pour améliorer le cadre de vie des habitants.
Cependant, quel que soit le plan d’actions mis en place pour que la ville soit propre, les résultats sont directement liés à l’attitude des habitants. Il est clair que chaque citoyen doit prendre sa part de responsabilité car tous ont à disposition les moyens de ne pas salir la ville.
Assurer la propreté des rues afin qu’elles soient agréables à vivre pour ses habitants et accueillantes pour ses visiteurs est donc un défi à relever ensemble.
Il revient ainsi à chacun de ne pas jeter de détritus sur la voie publique, de balayer et déneiger son trottoir, …
Malgré les nombreux messages délivrés dans les « Lettres d’info » et dans les « Bulletins municipaux », Certains propriétaires de chiens sont encore trop négligents.
Les crottes de chiens sont une nuisance pour tous les passants. Si malgré votre vigilance, votre chien utilise le trottoir pour ses besoins, il est de votre responsabilité de ramasser ses déjections en emportant avec vous des sacs en plastique.
Pour encourager ce geste, la Ville de Gallardon met gratuitement à votre disposition des sacs plastiques dans des distributeurs implantés aux quatre coins de la ville.
Le respect de cette règle de civisme est essentiel, il est en effet anormal que la collectivité supporte le coût du nettoyage des crottes de chiens qui, aujourd’hui, doit être quotidiennement effectué par la ville.
Rappelons que chaque contrevenant s’expose à une amende dont le montant s’élève à 35 €.
Enfin, trop d’incivilités sont constatées: parterres de plantes détériorés, tags, graffitis…, que chaque auteur ait conscience du préjudice qu’il cause !
L’article 322-1 alinéa 2 du nouveau Code Pénal précise :
La destruction, la dégradation ou la détérioration d’un bien appartenant à autrui est punie de deux ans d’emprisonnement et de 30000 euros d’amende, sauf s’il n’en est résulté qu’un dommage léger.
Le fait de tracer des inscriptions, des signes ou des dessins, sans autorisation préalable, sur les façades, les véhicules, les voies publiques ou le mobilier urbain est puni de 3750 euros d’amende et d’une peine de travail d’intérêt général lorsqu’il n’en est résulté qu’un dommage léger.
Les réparations de ces dégradations coûtent cher à la collectivité et donc à chaque foyer de Gallardon. C’est aussi une perte de temps considérable pour les employés des services techniques qui, en assurant cette charge, rencontrent des difficultés pour assurer convenablement les missions qui sont les leurs.